Qui sommes nous ?


Association audiovisuelle loi 1901, Art & tAf a été fondée par une bande d’amis ayant fréquenté les cours de la faculté des Arts d’Amiens.


De petits films de potes à expériences artistiques, leurs projets les amènent sur Paris, où après avoir travaillé sur nombreux films et clips, ils officialisent Art & tAf en décembre 2010.



Membres fondateurs :

Géraldine Macé (présidente actuel) - Après avoir travaillé la terre fertile des Ardennes, direction Amiens où j'ai appris à lire et rencontré les futurs Art&tafiens.
Ensuite Paris, où entre création de bigmac et création d'histoires, j'ai choisi la deuxième voie.
En 2011, je me suis essayé à la réalisation avec Alexandre Mancer, avec qui je travaille, entre autres, à l'écriture d'une série dédiée aux suicidaires.
Sinon, j'aime Dupontel, les post-it et les blagues de caca.

Michaël Marie (parrain actuel du président) - C'était un Mardi après midi, alors que je séchais les cours une fois de plus pour aller au cinéma - car cette période de ma vie n'avait aucun sens - je me suis dit devant cette immense toile blanche animée d'images spectaculaires : "Et si je faisais du cinéma ma vie!"
C'est alors que commence une grande épopée cinématographique !
1ère escale : Université d'Amiens, Licence Art du spectacle option cinéma... c'est ici que j'ai fait mes armes et surtout que j'ai rencontré toutes les personnes constituant Art & tAf
2eme escale : Paris, certificat d'assistant réalisateur... à cette époque notre groupe est bien soudé, je me spécialise dans l’assistanat à la réalisation et participe à de nombreux projets ( clip, court métrage, moyen métrage) tournés en pellicule 16mm, au 5D, à la RED... Une fois toute ces expériences acquises, il nous manquait l'essentiel : une identité cinématographique unique. C'est alors que nous avons fondé Art & tAf.

Camille Lebrun - Directrice de prod' au sein d'Art&taf, scripte à ses heures perdues, étalonneuse juste pour le fun, élue 1ere fan officielle de Dr Who dans la région Picarde, et future seule survivante de l'association après l'Attaque zombie de 2030.
En 2032, elle trouvera le moyen d'apprivoiser ces zombies et de leur trouver une utilité.
C'est en effet en 2034 qu'elle lancera sa propre boîte de production spécialisée dans le film de zombie, employant à moindre coût ces créatures en tant que comédiens.
En 2039, alors que la société est devenue une major et les zombies de véritables stars de cinéma, elle épouse l'un d'entre eux, Zack, rencontré sur le tournage de "28 siècles plus tard". L'année suivante Zack, donnera naissance (on apprendra alors que mystérieusement chez les zombies c'est le mâle qui enfante) au premier enfant né d'une humaine et d'un mort-vivant, lançant ainsi un nouveau métissage, qui permettra la survie des deux espèces.

Alexandre Mancer - Mec, j’ai que deux phobies dans la vie : l’administration d’une part. Étant très absurde et borderline sur mes propos et mes créations, j’assume entièrement ce qui sort de ma cervelle en me retirant de la vie familiale qui m’a donné son nom. Alors je suis né de moi même ; après une enfance chez moi où je me suis bien ennuyé parmi moi, j’ai avancé l’idée de me laisser porter par des chemins qui n’ont rien à voir avec la valeur travail ou la compétitivité.
Comme beaucoup de délinquants sexuels, je suis un touche-à-tout, mais moi je suis encore en liberté. J’ai pensé pendant quelques temps à me spécialiser, avant de trouver bien plus humain d’être mauvais en beaucoup de choses au lieu d’être mague-nifique dans un seul domaine. 
C’est pourquoi j’ai touché, je touche, et toucherai à tout ce qui permet de raconter des histoires. 
Ceci dit, mon point fort étant l’écriture, mon point fort est l’écriture. 
J’ai rencontré d’autres détraqués sexuels à la fac d’Arts d’Amiens avec qui nous avons fondé Art & tAf - mais pas tout de suite. Mes travaux ont permis à une vingtaine de courts métrages de voir le jour, ainsi que quelques livres, articles, affiches, bandes dessinées, musiques et scénarios. Ma partenaire en crimes Géraldine Macé dirait de moi que je suis caustique. Mais contrairement à Pierre Mortez et à la soude, j’ai un cœur gros comme ça. Des poutous. 

Virginie Longue-Epée - A passé son enfance et son adolescence à arpenter l'extérieur de la fac d'Art d'amiens en se disant "un jour, cette fac sera mienne".
Vle a fini par franchir la ligne en 2004, seulement 3 ans après le 11 septembre.
Coïncidence? Complot?
Extrapolation gratuite?
On ne le saura jamais vraiment...
Après deux ans de travail studieux et réfléchi, elle décida de terminer son cycle à Montréal afin d'exporter la bonne parole à l'international.
Un an plus tard, elle revient la tête pleine de savoir et de connaissances. Et avec un accent québecois.
Un an plus tard, les autres membres de l'Amiensploitation décidèrent de lui reparler quand même.
Depuis, Vle est devenue une assistante réalisatrice ainsi qu'une régisseuse aguérie et redoutée dans le milieu. Ce qui ne l’empêche pas d’être régulièrement sollicitée. Malgré son accent québécois.
Son avenir radieux s'accompagne d'envies de réalisation au sein d'Art et Taf.
Son caractère prononcé pour les bizarreries, les trucs absurdes, les faits divers hardcore et le cinéma gore - 5 principes majeurs et fondamentaux quand on grandit et vit en Picardie - annoncent des projets qui ne passeront surement sans doute jamais en prime time sur TF1.
Ce qui est en soi la première des bonnes nouvelles.

David Monmignot - J'ai été biberonné à la fin les années 80, au cinéma de genre, au cinéma de vidéo club, à une époque où une simple jaquette pouvait exercer un pouvoir de fascination absolu. Les jeunes de moins de 20 ans ne pourront pas comprendre. Et donc après avoir flashé sur la jaquette René Chateau Vidéo de classiques d'horreur des années 70, 80 j'ai franchi le cap, en insistant effrontément pour regarder Massacre à la Tronçonneuse. Je l'ai vu. Ce fut mon premier souvenir de cinéma. J'avais 5 ans. Peut être même 4.
S'en suivi une enfance uniquement vouée à la sur consommation de VHS louées, enregistrées, volées, revendues sous le manteau (Terminator 2 fut le premier DivX de ma vie), une adolescence où j'ai décidé de me faire des amis, une adolescence passée à étendre mes champs d'appréciations cinéphagiques, du drame à la comédie, de Kubrick aux Monty Pyhtons.
Après une scolarité générale placée sous le signe de l’ennui l’éducation nationale je décidâmes promptement de partir à la fac d’Art d’Amiens et d’y rencontrer ceux qui allaient devenir mes amis, ma bande, mes compagnons filmiques. Par logique je pense, mes premiers films sont placés sous le signe de l’horreur. Mais ce n’est que le début, d’autres projets très différents sont en cours d’élaboration.
Une seule chose est certaine, sans Alex, Axel, Camille, Géraldine, Virginie L, Virginie P et Michael, tout ça n’aurait jamais existé, et je ne serai aujourd’hui qu’un cinéphage déviant, recouvert de chips et de mauvaise bière vautré devant un écran full HD de 3 mètres.

Virginie Palugan - Paluganowitch pour les intimes, a développé très tôt un goût pour le meilleur du mauvais goût, entre blagues caca-glauques et création de canevas aux motifs fleuris (sa seconde grande passion avec le cinéma). Elle a également connu la vie tranquille de la fac d'Amiens, période durant laquelle elle a co-réalisée le film "Coralie" et été actrice dans les toutes premières réalisations de différents membres de l'association, bien avant sa création. Puis direction la capitale où elle a suivi une formation au CEFPF. Assistante réalisateur et organisatrice de soirée projection, elle prépare aussi un fameux pot-au-feu.